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Veolia s’engage pour une transformation écologique protectrice ancrée dans les territoires

Dernière mise à jour : 17 sept.


Inondations, incendies, pénuries d'eau, menaces sanitaires... Les manifestations du dérèglement climatique sont de plus en plus visibles, et les Français, qui vivent ces réalités, réclament protection et sécurité.


La transformation écologique peut répondre à ces demandes. Mieux, elle peut être le vecteur d'un projet social partagé. Les solutions apportées doivent néanmoins être clairement expliquées pour être comprises et acceptées. Elles impliquent des changements de perception, des coûts supplémentaires pour le consommateur, ou encore l'adaptation de pratiques et d'habitudes transmises de génération en génération.


C'est pourquoi, face aux débats quotidiens sur une écologie perçue comme trop contraignante ou pas assez ambitieuse, chez Veolia, nous proposons une troisième voie : une écologie qui protège et rassemble, qui se construit sur le désir et non sur la peur, sur l'envie et non sur la contrainte. Une écologie qui permet de préserver la santé des populations et d'améliorer leur qualité de vie avec des solutions adaptées à chaque territoire.


La décarbonation de notre système économique, la dépollution de nos sols, de notre air, de notre eau, ainsi qu’une gestion durable des ressources nous permettent d’offrir d’ores et déjà un chemin vers un monde plus sain, équilibré, solidaire. 



Les solutions sont là et doivent s’adapter aux réalités du terrain. C’est tout le paradoxe de la transformation écologique qui nécessite une forte mobilisation internationale pour tracer la voie et des approches locales pour décliner les meilleures pratiques à chaque territoire. Cela implique un dialogue au niveau local que les entreprises et les pouvoirs publics doivent assumer : le monde de demain se dessine dans notre travail quotidien. Chacun étant concerné, chacun étant nécessaire, il faut s’assurer que les solutions parlent à tous. Ce n’est pas juste une question de technologie, c’est aussi une question de sociologie. Et c’est la raison pour laquelle nous consacrons, chez Veolia, beaucoup plus d’efforts à comprendre, à connaître et à dialoguer avec nos utilisateurs finaux.


Précisément, le nouveau programme stratégique de Veolia 2024-2027 a pour objectif de déployer et inventer les solutions durables, abordables et duplicables qui dépolluent, décarbonent et régénèrent nos ressources.


Baptisé « Green up », ce qui signifie « verdir », l’objectif est de devenir le chaînon qui manquait à la transformation écologique. Alors que certains produisent de l’énergie directement décarbonée, Veolia se concentre là où les émissions de gaz à effet de serre sont les plus importantes et les pollutions les plus graves. 


Pour verdir les activités des villes et des industries en réduisant leurs impacts négatifs sur la santé et l’environnement, Veolia se focalise sur 3 activités stratégiques :


1. Produire de l’énergie locale, abordable et bas carbone : de la production de bioénergies à partir de déchets non recyclables, à la récupération de chaud et de froid, aux solutions d’efficacité énergétique, à la capture de CO2.

2. Dans l’activité eau, le pilier historique de Veolia, déployer les solutions de réutilisation des eaux usées traitées, et de traitement des nouveaux polluants comme le PFAS ou les microplastiques. Veolia vise à prélever 1,5 milliards de M³ d’eau en moins grâce à ses services.


3. Mieux traiter des déchets dangereux en accélérant les solutions d’économie circulaire et l’innovation dans le recyclage des batteries au lithium ; il s’agit aussi de déployer à grande échelle le recyclage des plastiques dont Veolia est actuellement leader avec plus de 30 usines dans le monde. Veolia vise à éliminer 10 millions de tonnes de déchets dangereux d’ici 2027.


Sur les 4 milliards d’euros d’investissement prévu sur 4 ans, Veolia va consacrer 2 milliards sur ces 3 activités stratégiques afin d’inventer les solutions de demain.


La  Preuve par l’exemple


Cagnes-sur-mer 

La nouvelle station d'épuration “Aéris” est un équipement novateur et tourné vers l’avenir. Cette usine transforme ses boues en énergie verte en injectant du biométhane dans le réseau GRDF et valorise à chaque étape de son process la chaleur et l’énergie disponible. 

Plus qu’une station de dépollution des eaux, c’est un site vertueux qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. “Aeris” devient ainsi la première station à énergie positive de France !


  • Capacité de la station d’épuration : 160 000 Eq Hab

  • Production de 10,5 GWh/an pour une consommation de 8,7 GWh/an

  • Revente de biométhane à GRDF : 65 000 €/mois

  • Production de biométhane équivalent à 5500 habitants chauffés/an

  • Création d’une zone de 2500 m² pour la préservation d’espèces protégées 3 500 h insertion professionnelle




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